Une rencontre gravée dans l’histoire et dans mon cœur d’un auteur reconnaissant.
Dans un monde où les gestes de grandeur sont rares mais éternels, j’ai vécu un moment que je qualifierai d’inoubliable, presque irréel. Une scène digne d’un conte moderne, où l’imaginaire croise le réel, et où l’honneur transcende les mots : j’ai eu le privilège d’être reçu par un homme qui incarne la constance, la réussite et la fidélité à une vision Monsieur Kerfalla Person Camara, dit KPC.
Ce n’était ni une cérémonie officielle, ni un événement annoncé. Et pourtant, pour moi, ce fut un moment historique. Il s’est procuré mon ouvrage, « *Dans la tête du Général Mamadi Doumbouya»,* avec une attention, une profondeur de regard, et une bienveillance qui m’ont profondément touché. Plus qu’un lecteur, KPC s’est révélé être un porteur de mémoire, un homme en harmonie avec la trajectoire nationale incarnée par le Président de la République.
À travers ce geste, il n’a pas seulement honoré un auteur il a rendu hommage à un idéal, à une vision de Guinée ambitieuse, fière, souveraine. Son engagement indéfectible pour la réussite de notre pays, son soutien constant au leadership du Général Doumbouya, et sa discrète mais puissante influence dans le développement national, font de lui l’un des piliers de notre ère.
Dans ses paroles, j’ai perçu la conviction d’un homme qui croit au destin de sa patrie. Dans ses gestes, j’ai ressenti la générosité d’un bâtisseur. Dans son regard, j’ai lu l’amour d’un fils fidèle à la terre qui l’a vu grandir.
« Si c’était ça le bonheur… » Alors peut-être qu’il résiderait dans la simplicité d’un geste vrai, la chaleur d’une reconnaissance silencieuse, et la grandeur humble d’un homme au service de son pays.
Comme le dit un proverbe africain : «Le bonheur ne se trouve pas au sommet de la montagne, mais dans la manière de la gravir.»
Et ce jour-là, dans la chaleur d’un échange empreint de respect et d’authenticité avec Kerfalla Camara KPC, j’ai compris que certaines rencontres ne se racontent pas, elles se ressentent comme un sommet qu’on atteint sans l’avoir prévu.
En recevant ce livre, KPC n’a pas simplement posé un geste symbolique. Il a reconnu la valeur d’une œuvre portée par la mémoire, et inscrit, par sa seule présence, une page d’engagement profond pour l’honneur et la destinée de la Guinée.
Merci, Monsieur Kerfalla Camara, pour cet honneur inestimable. Cette rencontre fut, pour moi, un honneur. Pour la mémoire collective, elle est un signe. Pour la postérité, elle est un repère.
Une plume pour la Nation. Quand les mots rendent justice à l’histoire.
*Billy KEITA, citoyen en méditation mais passif.*

