À l’occasion de la Journée des droits humains célébrée ce mercredi, les Nations Unies ont réaffirmé un principe universel et intemporel : tous les êtres humains naissent libres et égaux. Les droits humains, loin d’être des notions abstraites, constituent des protections essentielles qui garantissent à chaque individu, où qu’il vive, de pouvoir mener une existence digne et respectée.
Dans son message à la communauté internationale, le Secrétaire général de l’ONU a mis en garde contre la tendance croissante à sacrifier les libertés fondamentales au nom des intérêts économiques ou politiques. « Nos droits ne devraient jamais passer après les profits ou le pouvoir », a-t-il martelé, appelant gouvernements, institutions et citoyens à défendre sans relâche ces valeurs universelles.
Face aux crises qui secouent le monde — conflits, pauvreté, discriminations, répression —, l’ONU insiste sur la nécessité de protéger en priorité les personnes les plus vulnérables. « C’est en protégeant les plus vulnérables, en refusant de détourner le regard et en défendant les institutions qui nous défendent que nous faisons vivre les droits humains », a déclaré le Secrétaire général.
Cette Journée des droits humains rappelle ainsi l’importance d’un engagement collectif. Défendre la dignité humaine, l’égalité et la justice n’est pas seulement un devoir moral : c’est une condition indispensable pour bâtir des sociétés pacifiques, inclusives et résilientes.
