*Par Billy KEITA citoyen en méditation mais passif.*
*<<Une visite, un symbole, une loyauté éternelle.>>* Comme disait l’autre.
Ce 16 septembre 2025, le ciel de Banko n’a pas attendu le soleil pour s’illuminer. C’est sous une pluie battante, un ciel chargé de symboles, que le fils du terroir, le Ministre Ismaël Nabé, a foulé la terre rouge et chère d’ Oulada Banko, son village natal. Ni la boue, ni les nuages n’ont empêché les cœurs de rayonner. Toute la sous-préfecture, unie comme un seul homme, s’est tenue debout, ferme, joyeuse, autour de leur fils, oncle, cousin devenu ministre de la République.
Ce n’était pas une visite, c’était un message. Un message de reconnaissance et de fidélité adressé à *Son Excellence le Général Mamadi Doumbouya*, Président de la République, pour la confiance placée en un fils de Banko, en un digne représentant du peuple.
Banko a parlé. Et ses larmes de pluie ont chanté l’honneur. L’émotion était vive, palpable, presque sacrée. Des femmes en transe, des jeunes fiers, des anciens bouleversés… tous portaient le même message : *«Merci à notre président, merci à notre fils.»**Ismaël Nabé n’a pas seulement transmis un discours. Il a incarné l’esprit d’unité, de retour aux sources, d’humanité. En tenant la main de ses parents, en saluant chaque visage connu, il a rappelé que le pouvoir n’éloigne pas, il rapproche quand il est bien porté.
Et c’est ce qu’il fait. Il porte l’État dans ses bottes, dans ses poignées de mains, dans ses mots simples. Il est l’homme de la République proche, celui qui ne se cache pas derrière un titre, mais s’en sert pour tendre la main.
Oulada Banko, par cette visite, entre dans l’histoire. Car pour la première fois, un ministre natif est revenu, non pour demander, mais pour offrir un message d’espérance, celui d’une Guinée en chantier, d’une République qui n’oublie personne, comme l’a promis le Président de la République.
En lui confiant cette mission, le Président Doumbouya a tendu la main à Banko, et Ismaël Nabé l’a portée avec dignité, simplicité et grandeur.
Le mystère de la pluie s’est dissipé à Banko. Il a laissé place à une certitude : *«Quand un fils revient avec le message de la République, le village s’élève.»* Et Banko s’est élevé ce jour-là, dans la boue, mais dans la gloire.
Le retour de l’enfant de Banko n’était pas un hasard. Il était le signe vivant d’une République en marche, d’une Guinée qui répare, qui unit, qui honore.
Et sous la pluie bénie d’Oulada, la voix de Banko s’est élevée pour dire merci, et surtout, pour dire OUI.
*Banko de fidélité, de reconnaissance et d’émotion, à la croisée de l’héritage et de l’avenir.*
*Là où l’honneur, la loyauté et l’action républicaine se rejoignent.*
*Billy KEITA, citoyen en méditation mais passif*.

