Billy Keita par la Tribune du CNRD.
Ce n’est ni dans les salles de conférences climatisées, ni sur les plateaux de télévision, ni dans les amphithéâtres feutrés où l’on disserte savamment sur la vision du Président Mamadi Doumbouya que s’écrit l’Histoire réelle. L’Histoire authentique, celle qui dure et qui marque, se murmure ailleurs. Elle se chuchote dans les villages oubliés, elle se transmet au cœur du terroir, là où les cœurs battent au rythme de la terre et de la vérité vécue.
Elle s’écrit à Komolla, dans la préfecture de Kouroussa. Elle se raconte dans Oulada profond, à une vingtaine de kilomètres de Saraya, village emblématique lié à la mémoire d’Aboubacar Demba. C’est là, loin des caméras, qu’un vieil homme de 95 ans, digne, lucide, mémoire intacte, parle à la jeunesse. Il ne récite pas un discours appris. Il transmet une histoire. Il explique, avec des mots simples mais lourds de sens, ce que représente Simandou 2040.
Ce vieil homme est un témoin vivant de l’histoire de la Guinée. Une bibliothèque humaine. Il se souvient. Il raconte comment, selon lui, le feu Camarade Ahmed Sékou Touré avait déjà compris la portée stratégique du mont Simandou, le réservant aux générations futures. Et il établit un fil historique, une continuité, une responsabilité transmise. Pour lui, celui qui incarne aujourd’hui cette promesse différée, c’est le Président Mamadi Doumbouya.
Fait frappant : Ces hommes et ces femmes de Komolla, de Banko, d’Oulada, de Saraya n’ont jamais rencontré le Président MamadiDoumbouya. Ils ne l’ont jamais vu de près. Ils ne lui ont jamais serré la main. Et pourtant, ils l’aiment. Profondément. Sincèrement.
Pourquoi ? Parce que leur adhésion ne naît pas de la parole, mais de l’action concrète. Parce que leur admiration ne se nourrit pas de slogans, mais de résultats tangibles. C’est là que se reconnaissent les grands leaders à l’impact silencieux de leurs décisions dans la vie des anonymes.
Dans cette histoire, il y a un passeur, un éclaireur, un fils du sol. Un homme qui a servi de pont entre l’État et ceux que l’on n’entend jamais. Cet homme, c’est Ismaël Nabé, ministre du Plan et de la Coopération Internationale, mais surtout fils de Banko, fils de Oulada, fils de Dabola, fils de Sèrédou. Grâce à lui, les voix enfouies dans la poussière des pistes rurales sont parvenues jusqu’aux sommets de l’État.
Le symbole le plus éclatant de cette reconnaissance républicaine est une route. Une route moderne reliant Saraya au reste du pays. Une route que les anciens racontent n’avoir jamais vue rénovée depuis l’époque coloniale. Une route autrefois construite par les travaux forcés, dans la douleur et l’humiliation. Aujourd’hui, cette même route est offerte par la République, dans la dignité, pour le progrès, pour l’avenir. Dans le béton, les habitants voient l’État. Dans l’eau potable, ils sentent la présence du pouvoir.
Dans l’école, ils perçoivent l’avenir. Dans la route, ils mesurent la considération. À Komolla, à Banko, à Oulada, à Saraya, ce n’est pas la parole qui convainc, c’est l’action. Et dans le silence majestueux des montagnes, loin des micros, une vérité se répand, solide et irréfutable : le Président Mamadi Doumbouya agit. Et le peuple le ressent.
C’est peut-être là, précisément, que s’écrit la plus belle page de l’Histoire contemporaine guinéenne
loin des projecteurs, mais au plus près du peuple.
Signe par la Tribune du CNRD.
Un voix pour la vérité.
Un écho pour la République.
